Jacques Sibade

« Je me suis toujours dit : peins ce que tu ressens, ne reste pas sur le quai.

Sans recherche créatique, la peinture devient industrie, il faut donc se renouveler sans cesse, c’est ainsi que mon parcours est jalonné d’expressions différentes avec des résultats différents.

Etre dans une époque où tout bouge, où tout se crée, nous oblige à des efforts de recherches, de techniques, sans oublier les paroles de Kundera « vouloir être dans le vent est une ambition de feuilles mortes ». C’est pour tout cela que notre art est difficile et qu’il nous procure tant de joie lorsqu’il touche notre sensibilité et le regard des autres. »